> retour
(nom masculin)
Action de revenir, de retourner.• Arrivée dans un lieu qu’on avait quitté.• Mouvement en arrière.• Echange, réciprocité.• Angle que fait une ligne, un bâtiment.• Renvoi, réexpédition.• Répétition.• [sens figuré] Changement, vicissitude.• Etre sur le retour: commencer à vieillir.• Retour d’âge: ménopause.• En retour: en échange.• Sans retour: à jamais.• [audiovisuel] Retour en arrière: rupture de la continuité chronologique d’une action et évocation d’une période liée à la situation présente.• (Syn.: flash back).• (Anglais: flash-back).• [audiovisuel] Retour rapide: défilement rapide d’un support d’enregistrement dans le sens inverse de la lecture.• (Anglais: fast rewind).• A retour de force: [informatique] qualifie des périphériques de jeu qui réagissent à la résistance, à l’impact, à la vitesse, etc., donnant ainsi une impression de réalisme physique au joueur.

> détour
(nom masculin)
Changement de direction.• Sinuosité.• Voie détournée, allongée.• [sens figuré] Moyen détourné, indirect.

Fight Club est une adaptation cinématographique américaine du roman Fight Club de Chuck Palahniuk, réalisée par David Fincher et sortie le 10 septembre 1999 lors du Venice Film Festival en Italie. La date de sortie officielle aux États-Unis fut le 21 septembre 1999 au CMJ Film Festival et la première fut lancée le 6 octobre 1999.

Un employé de bureau, expert en assurances (Edward Norton, le narrateur), seul, dans la trentaine, souffrant d’insomnie chronique et désillusionné par la vie, recherche une façon de s’évader de son existence monotone, façon qu’il trouvera grâce à l’aide d’un louche vendeur de savon, mi-nihiliste, mi-terroriste, Tyler Durden (Brad Pitt), qui lui fera découvrir une nouvelle façon de vivre et de voir les choses. Les deux personnages trouveront ainsi leur liberté face à la prison de la réalité à travers un Fight Club (club de batailles) underground qu’ils créeront ; où l’homme peut être ce que le monde lui nie d’être. Mais leur Fight Club et leurs canulars inoffensifs, tout comme l’apparition d’une fille qui rôde dans les rues, Marla Singer (Helena Bonham Carter), les conduiront vers un cercle vicieux de comportements et de faits incontrôlables.
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